dimanche 23 avril 2017

Daesh a-t-il choisi le président français ?

Théophraste        

La fusillade des Champs-Elysées va-t-elle faire basculer le vote des Français quand quatre candidats sont donnés pratiquement à égalité dans les derniers sondages (compte tenu des marges d’erreurs) ?

C’est la question que pose Jean Ortiz dans un magnifique article publié par l’Humanité ICI.
Le Grand Soir ne valide ni ne se démarque de cet article (bien au contraire, comme dirait Macron). Dame ! l’accusation de complotisme vient encore de lui tomber dessus, venant d’un éminent sociologue très à la mode, que vous avez souvent pu lire ici et qui, soudain imbu, grisé, infaillible, se gonfle comme un bœuf pour encorner LGS après avoir aimablement grenouillé dans un débat à deux avec un ami de Soral, un individu pour qui le FN n’est pas un danger.

Voir l’implacable article de Bernard Gensane : ICI.

Théophraste R.

PS. « Le soir tombait ; la lutte était ardente et noire.
Mélenchon avait l’offensive et presque la victoire ;
Il tenait Fillon-Macron-Hamon acculés sur un bois.
Sa lunette à la main, il observait parfois
Le centre du combat, point obscur où tressaille
La mêlée, effroyable et vivante broussaille,
Et parfois l’horizon, sombre comme la mer.
Soudain, joyeux, il dit : Les Insoumis ! - C’était Daesh ! »

Victor Hugo (presque), Les Châtiments.

Le Grand Soir

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